• L’école publique d’Armstrong. Ontario, vers 1975.

  • La résidence des FDLS au-dessus du magasin général du village, entre 1975 et 1982. Armstrong, Ontario.

  • Sr Patricia McCallion (John-Mary of the Assumption) prête pour une visite pastorale en motoneige. Attawapiskat, Ontario, vers 1980.

Paroisse Our Lady of the Snows

THÉMATIQUE
Éducation  |  Pastorale et liturgie  |  Service social

MILIEU D’APOSTOLAT
Mission autochtone et métisse

ENGAGEMENT
1972 – 1983

LIEU
CANADA  |  Ontario  |  Armstrong

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HISTORIQUE DE L’ENGAGEMENT

À la suite de leur départ de la mission de Gull Bay en 1972, les Filles de la Sagesse (FDLS) acceptent de s’établir à Armstrong l’année suivante. Située encore plus au nord – 70 kilomètres séparent les deux endroits –, cette communauté rurale d’environ 500 personnes regroupe une population principalement ojibwée, mais aussi blanche et métisse. Armstrong constitue alors un point de ravitaillement pour les trains du Canadien National et abrite une station radar des Forces armées canadiennes. Comme à Gull Bay, les religieuses répondent à l’appel du jésuite Brian Tiffin de la Catholic Church Extension Society de Toronto. Sr Patricia McCallion (John-Mary of the Assumption) et Sr Céline Racicot (Marie-Aimée de l’Assomption), deux enseignantes déjà en poste à Gull Bay, se joignent ainsi à Sr Germaine Gauthier (Adélard de la Visitation), affectée au travail paroissial et au chant liturgique.

Les FDLS enseignent de la 1re à la 3e année à l’école primaire publique du village. Elles font aussi la catéchèse après les classes et mettent en place des loisirs pour les jeunes (artisanat, sport, scoutisme, cinéma, etc.). Les sœurs sont membres du conseil de la paroisse Our Lady of the Snows et participent activement à la vie sociale d’Armstrong. Elles s’occupent de l’animation liturgique, de la visite des familles, des activités de financement de la paroisse et de l’entretien de l’église, sans compter l’instruction religieuse des adultes. Au milieu des années 1970, les religieuses commencent à former des diacres autochtones pour leur relève. Elles mettent même sur pied une bibliothèque gérée par des bénévoles. Durant l’été, de jeunes professes FDLS viennent donner un coup de main dans l’organisation des loisirs. À la même époque, elles prennent part à un groupe intercommunautaire qui assure l’animation religieuse des réserves autochtones avoisinantes, comme celle de Gull Bay.

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