• Les sœurs d’Azilda avec quelques enfants de la paroisse. Ontario, 1965.

  • Les cinq fondatrices. Azilda, Ontario, 1965.

École Sainte-Marie

THÉMATIQUE
Éducation

MILIEU D’APOSTOLAT
École primaire  |  École secondaire

ENGAGEMENT
1959 – 1973

LIEU
CANADA  |  Ontario  |  Azilda

  Voir sur une carte

HISTORIQUE DE L’ENGAGEMENT

Dans la deuxième moitié des années 1950, les Filles de la Sagesse (FDLS) acceptent plusieurs nouveaux engagements éducatifs en Ontario, principalement dans des secteurs où elles sont déjà bien implantées comme la région du Lac Nipissing, ou encore le long de la route 17. En 1959, elles consentent à s’installer un peu plus au nord, dans la petite localité francophone d’Azilda du Grand Sudbury. À la demande du curé Lucien Daoust, elles prennent la direction d’écoles paroissiales bilingues. Supérieure de la nouvelle communauté d’Azilda, Sr Marie-Anne Gariépy (Alfred de la Sagesse) assume aussi la direction de l’école Sainte-Marie, un établissement regroupant 360 garçons et filles, de la 1re à la 10e année. Pour les classes, Sr Marie-Anne peut compter sur quelques compagnes enseignantes ainsi que sur une équipe laïque.

En septembre 1966, afin de répondre au désir de la commission scolaire qui tient à ce que chacune des écoles bilingues d’Azilda profite de la présence des sœurs, les enseignantes FDLS se dispersent dans quatre écoles de la région. Seules les écoles Sainte-Agnès et Saint-Dominique-Savio demeurent sous la direction des FDLS. Devenue une école pour les plus grands, soit les élèves de la 5e à la 8e année, l’école Sainte-Marie n’a plus qu’une seule religieuse dans ses rangs : Sr Rachel Labonté (Rachel de Notre-Dame) s’occupe de l’enseignement de la catéchèse jusqu’en 1970; Sr Madeleine Vaillancourt (Denise de Notre-Dame) accepte une classe de 5e année en 1971-1972, puis Sr Suzanne Quenneville (Suzanne-Marie) est responsable d’une 6e année pour l’année scolaire 1972-1973.

Au fil des ans, quelques religieuses rattachées à la maison d’Azilda enseignent aussi dans des écoles secondaires de Sudbury et de Hanmer. Malgré un retrait progressif des milieux scolaires, les FDLS demeurent actives dans la paroisse jusqu’en 2004 puisque la maison héberge le foyer Chez-Nous, une résidence pour des adultes avec un handicap intellectuel.

GALERIE MÉDIA