École Sainte-Agnès
THÉMATIQUE
Éducation
MILIEU D’APOSTOLAT
École primaire
ENGAGEMENT
1959 – 1982
LIEU
CANADA | Ontario | Azilda
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HISTORIQUE DE L’ENGAGEMENT
Dans la deuxième moitié des années 1950, les Filles de la Sagesse (FDLS) acceptent plusieurs nouveaux engagements éducatifs en Ontario, principalement dans des secteurs où elles sont déjà bien implantées comme la région du Lac Nipissing, ou encore le long de la route 17. En 1959, elles consentent à s’installer un peu plus au nord, dans la petite localité francophone d’Azilda du Grand Sudbury. À la demande du curé Lucien Daoust, elles prennent alors la direction d’écoles paroissiales bilingues. Sr Aurélia Daoust (Aimée de Marie) assume la direction de l’école primaire Sainte-Agnès, un établissement regroupant 270 garçons et filles, de la 1re à la 8e année. Elle enseigne aussi la classe de 7e et 8e année, alors que sa compagne, Sr Jeannine Gauthier (Suzanne-Marie de Jésus), prend les commandes d’une classe anglophone qui rassemble les petits de la 1re à la 3e année. Des effectifs laïques complètent le corps professoral.
En septembre 1966, afin de répondre au désir de la commission scolaire qui tient à ce que chacune des écoles bilingues d’Azilda profite de la présence des sœurs, les enseignantes FDLS se dispersent dans quatre écoles de la région. À la suite de ce réaménagement, seules les écoles Saint-Dominique-Savio et Sainte-Agnès demeurent sous la direction des FDLS. Cette dernière est toutefois réorganisée pour n’accueillir que les enfants de la maternelle à la 5e année. L’école Sainte-Agnès peut alors compter sur la présence de deux religieuses : Sr Rolande St-Jules (Marie-Anna de la Croix), directrice, et Sr Denise Renaud (René de Marie). Sr Rolande poursuit sa mission de directrice-enseignante jusqu’à sa retraite en 1982.
Au fil des ans, quelques religieuses rattachées à la maison d’Azilda enseignent aussi dans des écoles secondaires de Sudbury et de Hanmer. Malgré un retrait progressif des milieux scolaires, les FDLS demeurent actives dans la paroisse jusqu’en 2004 puisque la maison héberge le foyer Chez-Nous, une résidence pour des adultes avec un handicap intellectuel.